Voici, le lancement officiel de cette page qui m'oblige à prendre des habitudes d'écriture un peu plus assidues. Plus de discipline, plus de plaisir. Pour les gens qui me connaissent ou qui me cyberconnaissent, je n'ai pas abandonné Gilles et Jill, j'ai juste perdu le beat. J'ouvre justement ce nouveau blog pour me forcer à écrire. Pour reprendre le beat, parce que je l'ai perdu, comme c'est écrit dans la phrase précédente.
Je suis un peu délisiunoné à propos de la tâche d'écrire un roman. C'est une question de temps, ou de manque de. Oui oui, je l'sais, personne n'a le temps, le temps y faut le faire, le temps c'est relatif. Mais j'aimerais attirer mon attention, parce que c'est à moi que je parle, au fond, sur une expression qu'on utilise à outrance dans le domaine boursier - domaine voisin de celui de Céline, à Valleyfield - Time is money, baby. Ok ok, le baby, c'est moi. Mais il reste que j'ai pas le temps de me concentrer à chaque soir, ou matin ou n'importe quand, sur une seule histoire, ou affaire ou nouvelle ou je sais pas.
J'ai déjà entendu quelqu'un dire «Je vis pour écrire». Dans mon cas, j'essaie d'écrire pour vivre. Mais je vis quand même, tsé - wow, là ça devient lourd, je crois que j'vais soumettre mes interrogations à Philagora.com.
En tout cas, à défaut de trouver mieux à dire, et de peur de trop tout expliquer de sorte à ce que rien ne soit compris de façon sous-entendue et que tout soit presque trop clair, voici une compilation de mes meilleurs succès pas encore écrits et tels que vus à la radio.
Et, maintenant, dans ma tête, une cyberpersonnalité connue - genre Normand Brathwaite ou le 1-2-3 Kid - vient serrer plusieurs cybermains, et empoigne la paire de cyberciseaux pour couper le cyberruban, ou vient pelleter la première cyberpelletée. Le geste cybersymbolise l'ouverture de ce blog. Les journalistes sont cybercontents, ils prennent des photos de Normand et de son cybersourire devant les banderoles et les femmes en bikinis.
En réalité, pas dans ma tête, je mange des pistaches salées.
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3 commentaires:
J'ai bien hâte de voir si tu vas tenir te promesse! Moi je suis prête à être ta muse si tu veux!
Cath
bonjour monsieur, content de voir cette initiative, je vous envoie mes plus chères salutations, à vous, et aux femmes en bikinis.
o.
J'ai bien hâte de voir le fruit de tes réflexions... Hmm... vas-tu encore parler de tuer ta mère?
L.
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